Bienvenue! Voilà des ressources qui vont vous aider à maîtriser la langue française.
mercredi 30 mai 2012
"Je l'aime à mourir" Sophie, Ludovic et Delphine
Profitez de cette nouvelle version de la chanson de Francis Cabrel en anglais, français et espagnol. Bonne semaine!
jeudi 17 mai 2012
DECLARATION- GEORGES MOUSTAKI
Déclaration
Je déclare l'état de bonheur permanent
Et le droit de chacun à tous les privilèges.
Je dis que la souffrance est chose sacrilège
Quand il y a pour tous des roses et du pain blanc.
Je conteste la légitimité des guerres,
La justice qui tue et la mort qui punit,
Les consciences qui dorment au fond de leur lit,
La civilisation au bras des mercenaires.
Je regarde mourir ce siècle vieillissant.
Un monde différent renaîtra de ses cendres
Mais il ne suffit plus simplement de l'attendre :
Je l'ai trop attendu. Je le veux à présent.
Que ma femme soit belle à chaque heure du jour
Sans avoir à se dissimuler sous le fard
Et qu'il ne soit plus dit de remettre à plus tard
L'envie que j'ai d'elle et de lui faire l'amour.
Que nos fils soient des hommes, non pas des adultes
Et qu'ils soient ce que nous voulions être jadis.
Que nous soyons frères camarades et complices
Au lieu d'être deux générations qui s'insultent.
Que nos pères puissent enfin s'émanciper
Et qu'ils prennent le temps de caresser leur femme
Après toute une vie de sueur et de larmes
Et des entre-deux-guerres qui n'étaient pas la paix.
Je déclare l'état de bonheur permanent
Sans que ce soit des mots avec de la musique,
Sans attendre que viennent les temps messianiques,
Sans que ce soit voté dans aucun parlement.
Je dis que, désormais, nous serons responsables.
Nous ne rendrons de compte à personne et à rien
Et nous transformerons le hasard en destin,
Seuls à bord et sans maître et sans dieu et sans diable.
Et si tu veux venir, passe la passerelle.
Il y a de la place pour tous et pour chacun
Mais il nous reste à faire encore du chemin
Pour aller voir briller une étoile nouvelle.
Je déclare l'état de bonheur permanent.
Et le droit de chacun à tous les privilèges.
Je dis que la souffrance est chose sacrilège
Quand il y a pour tous des roses et du pain blanc.
Je conteste la légitimité des guerres,
La justice qui tue et la mort qui punit,
Les consciences qui dorment au fond de leur lit,
La civilisation au bras des mercenaires.
Je regarde mourir ce siècle vieillissant.
Un monde différent renaîtra de ses cendres
Mais il ne suffit plus simplement de l'attendre :
Je l'ai trop attendu. Je le veux à présent.
Que ma femme soit belle à chaque heure du jour
Sans avoir à se dissimuler sous le fard
Et qu'il ne soit plus dit de remettre à plus tard
L'envie que j'ai d'elle et de lui faire l'amour.
Que nos fils soient des hommes, non pas des adultes
Et qu'ils soient ce que nous voulions être jadis.
Que nous soyons frères camarades et complices
Au lieu d'être deux générations qui s'insultent.
Que nos pères puissent enfin s'émanciper
Et qu'ils prennent le temps de caresser leur femme
Après toute une vie de sueur et de larmes
Et des entre-deux-guerres qui n'étaient pas la paix.
Je déclare l'état de bonheur permanent
Sans que ce soit des mots avec de la musique,
Sans attendre que viennent les temps messianiques,
Sans que ce soit voté dans aucun parlement.
Je dis que, désormais, nous serons responsables.
Nous ne rendrons de compte à personne et à rien
Et nous transformerons le hasard en destin,
Seuls à bord et sans maître et sans dieu et sans diable.
Et si tu veux venir, passe la passerelle.
Il y a de la place pour tous et pour chacun
Mais il nous reste à faire encore du chemin
Pour aller voir briller une étoile nouvelle.
Je déclare l'état de bonheur permanent.
dimanche 13 mai 2012
Espagne : les «indignés» reprennent la Puerta del Sol à Madrid
Les
« indignés » sont descendus par milliers dans les rues des grandes
villes espagnoles. Ici à Madrid à la Puerta del Sol, ce 12 mai 2012.
REUTERS/Paul Hanna
Par RFI
A Madrid comme dans des dizaines de villes espagnoles, les
« indignés » entendent bien occuper l'espace public pour signifier
qu'ils n'ont rien perdu de leur force, une année après le lancement du
mouvement. C'est de cette façon qu'ils s'étaient fait entendre il y a un
an, c'est de cette façon que leur mouvement a donné des idées à
d'autres « indignés », en France, en Europe, en Israël, ou aux
Etats-Unis. Jusqu'au mardi 15 mai, des dizaines de milliers de gens en
colère, persuadés qu'un autre monde est possible, défileront, débattront
et proclameront leur propositions.
« Un vote, ce n’est pas un chèque en blanc », ou, « qu’ils ne nous marchent pas dessus », ou bien encore « pour un printemps total, global et indéfini »,
chacun ou presque a collé un slogan sur une pancarte confectionnée par
ses soins. Nous sommes place de Callao, en plein centre de Madrid, une
assemblée vient de s’achever et des centaines « d'indignés » convergent
vers la Puerta del Sol où beaucoup ont l’intention de camper comme il y a
un an de façon symbolique, même si les policiers ont reçu la consigne
de s’y imposer coûte que coûte.
Ce qui surprend sur la place de Callao, c’est le calme, la
détermination des manifestants. Monica, étudiante en droit, est venue
avec deux amis et elle n’aurait manqué ce rendez-vous pour rien au
monde : « Moi, je vois qu'en un an, la situation n'a pas beaucoup
changé, alors, on ne va pas se rendre, parce que si on abandonne
maintenant, ils feront vraiment de nous ce qu'ils veulent ».
Tous les âges sont présents, tous disent leur colère contre une
situation de crise où seuls les citoyens paient les pots cassés. Les
deux grands ennemis sont la classe politique et les milieux financiers.
Manuel, retraité, sait bien pourquoi il est venu : « Je suis là contre les marchés qui gouvernent actuellement dans toute l'Europe occidentale ». Pour eux tous, la mobilisation ne fait que commencer, elle devrait durer trois jours.
Expression de la conséquence
1. Propositions subordonnées à l'indicatif* verbe+ tant que/ tellement que
- Il travaille tellement qu'il est fatigué.
- Il a tellement (tant) travaillé qu'il est fatigué.
- Il travaille tellement qu'il est fatigué.
- Il a tellement (tant) travaillé qu'il est fatigué.
* si/ tellement + adjectif ou adverbe + que
- Ce film est si (tellement) intéressant que j'irai bien le revoir.
- Il roulait si (tellement) vite qu'il n'a pas vu le feu rouge.
- Ce film est si (tellement) intéressant que j'irai bien le revoir.
- Il roulait si (tellement) vite qu'il n'a pas vu le feu rouge.
* tellement de/ tant de + nom + que
- Il a tellement de (tant de) soucis qu'il ne dort plus.
- Il a tellement de (tant de) soucis qu'il ne dort plus.
* un(e) tel(le)/ de tel(le)s + nom + que
- Il fait un tel froid qu'on a dû allumer le chauffage.
- L'orage s'est abattu avec une telle violence que de nombreuses branches ont été coupées.
- Elle a fait de tels progrès que maintenant elle parle couramment le français.
- Il fait un tel froid qu'on a dû allumer le chauffage.
- L'orage s'est abattu avec une telle violence que de nombreuses branches ont été coupées.
- Elle a fait de tels progrès que maintenant elle parle couramment le français.
* être tel(le)(s) + que
- Ses difficultés financières sont telles qu'il a besoin d'être aidé.
Conjonctions suivies de l'indicatif* si bien que, tant et si bien que, de (telle) sorte que, de (telle) manière que, de (telle) façon que, au point que, à tel point que
- Ses difficultés financières sont telles qu'il a besoin d'être aidé.
Conjonctions suivies de l'indicatif* si bien que, tant et si bien que, de (telle) sorte que, de (telle) manière que, de (telle) façon que, au point que, à tel point que
N.B.
a) si bien que, de sorte que expriment une simple conséquence sans nuance particulière.
b) de (telle) sorte que, de (telle) manière que, de (telle) façon que insistent sur la manière d'agir.
c) au point que, à tel point que expriment une idée d'intensité.
- Il a crié pendant deux heures si bien qu'il n'a plus de voix.
- Pierre se comporte de telle façon que personne ne le supporte plus.
- Il souffrait à tel point que le docteur lui a donné des calmants.
- L'orage a été violent au point que de nombreuses caves ont été inondées.
a) si bien que, de sorte que expriment une simple conséquence sans nuance particulière.
b) de (telle) sorte que, de (telle) manière que, de (telle) façon que insistent sur la manière d'agir.
c) au point que, à tel point que expriment une idée d'intensité.
- Il a crié pendant deux heures si bien qu'il n'a plus de voix.
- Pierre se comporte de telle façon que personne ne le supporte plus.
- Il souffrait à tel point que le docteur lui a donné des calmants.
- L'orage a été violent au point que de nombreuses caves ont été inondées.
Remarque générale: On peut employer le conditionnel à la place de l'indicatif:
Comparez:
- J'ai une telle envie de dormir que je vais me coucher tout de suite.
(fait réel ----> indicatif)
- J'ai une telle envie de dormir que je me coucherais bien tout de suite.
(fait souhaité ----> conditionnel)
- Tu t'habilles de telle façon que tu ressembles à un clochard.
(fait réel ----> indicatif)
- Tu t'habilles de telle façon qu'on te croirait un clochard.
(fait prévu ----> conditionnel)
Comparez:
- J'ai une telle envie de dormir que je vais me coucher tout de suite.
(fait réel ----> indicatif)
- J'ai une telle envie de dormir que je me coucherais bien tout de suite.
(fait souhaité ----> conditionnel)
- Tu t'habilles de telle façon que tu ressembles à un clochard.
(fait réel ----> indicatif)
- Tu t'habilles de telle façon qu'on te croirait un clochard.
(fait prévu ----> conditionnel)
2. Propositions subordonnées au subjonctif:
La principale et la subordonnée ont obligatoirement des sujets différents.
* assez ..... pour que, trop ..... pour que + verbe (ou adverbe ou adjectif )
- Il pleut trop pour que nous puissions faire une promenade.
- Ce jeune musicien joue assez bien pour qu'on le prenne au conservatoire.
- L'eau est trop froide pour que les enfants se baignent.
La principale et la subordonnée ont obligatoirement des sujets différents.
* assez ..... pour que, trop ..... pour que + verbe (ou adverbe ou adjectif )
- Il pleut trop pour que nous puissions faire une promenade.
- Ce jeune musicien joue assez bien pour qu'on le prenne au conservatoire.
- L'eau est trop froide pour que les enfants se baignent.
* assez de + nom pour que, trop de +nom pour que
- Il n'y a pas assez de participants pour que l'excursion ait lieu.
- Quelle queue! Il y a trop de monde pour que j'attende.
- Il n'y a pas assez de participants pour que l'excursion ait lieu.
- Quelle queue! Il y a trop de monde pour que j'attende.
Remarque sur les propositions subordonnées à l'indicatif et au subjonctif:
Quand il y a deux subordonnées, on ne répète pas la conjonction, on la remplace par "que":
- Tout le monde fumait dans la salle si bien que je ne pouvais plus respirer et que je suis sorti.
Quand il y a deux subordonnées, on ne répète pas la conjonction, on la remplace par "que":
- Tout le monde fumait dans la salle si bien que je ne pouvais plus respirer et que je suis sorti.
3. Prépositions + infinitif:
L'infinitif a le même sujet que le verbe principal
L'infinitif a le même sujet que le verbe principal
* assez (de)..... pour, trop (de) ..... pour + adjectif ou adverbe (ou nom)
- Il est trop vieux pour danser le rock.
- Tu manges trop vite pour pouvoir apprécier ce plat.
- Elle n'a pas assez d'ambition pour réussir.
- Il est trop vieux pour danser le rock.
- Tu manges trop vite pour pouvoir apprécier ce plat.
- Elle n'a pas assez d'ambition pour réussir.
* au point de
- Il s'inquiète pour son examen au point de ne plus dormir.
- Il s'inquiète pour son examen au point de ne plus dormir.
4. Mots de liaison:
* donc
- Je n'ai pas faim, donc je ne dîne pas.
* alors
- Il pleuvait, alors je suis remonté prendre un parapluie.
* c'est pourquoi
* c'est pour ça que (à l'oral)
- Le Québec est une ancienne possession française; c'est pourquoi on y parle le français.
- Je n'ai pas compris; c'est pour ça que je ne sais pas faire les exercices.
* par conséquent
- Ma voiture est très vieille; par conséquent je devrai bientôt en acheter une autre.
* ainsi
* comme ça (à l'oral)
- Ce jardin est très bien aménagé pour les enfants; ils peuvent ainsi jouer en toute sécurité.
N.B.: A l'écrit, ainsi en tête de phrase entraîne l'inversion du sujet:
- ....... ainsi peuvent-ils jouer en toute sécurité.
- Prends une clé; comme ça tu pourras rentrer même si je ne suis pas là.
* aussi (à l'écrit avec inversion du sujet)
- La Camargue est une belle région; aussi attire-t-elle de nombreux touristes.
* d'où, de là (suivis d'un nom)
- Je ne l'attendais pas; d'où ma surprise quand je l'ai vu arriver.
- Il ne pleut pas depuis des mois; de là l'inquiétude des agriculteurs.
* du coup (fréquent à l'oral)
- Je n'ai pas écouté les explications; du coup je ne comprends rien.
* donc
- Je n'ai pas faim, donc je ne dîne pas.
* alors
- Il pleuvait, alors je suis remonté prendre un parapluie.
* c'est pourquoi
* c'est pour ça que (à l'oral)
- Le Québec est une ancienne possession française; c'est pourquoi on y parle le français.
- Je n'ai pas compris; c'est pour ça que je ne sais pas faire les exercices.
* par conséquent
- Ma voiture est très vieille; par conséquent je devrai bientôt en acheter une autre.
* ainsi
* comme ça (à l'oral)
- Ce jardin est très bien aménagé pour les enfants; ils peuvent ainsi jouer en toute sécurité.
N.B.: A l'écrit, ainsi en tête de phrase entraîne l'inversion du sujet:
- ....... ainsi peuvent-ils jouer en toute sécurité.
- Prends une clé; comme ça tu pourras rentrer même si je ne suis pas là.
* aussi (à l'écrit avec inversion du sujet)
- La Camargue est une belle région; aussi attire-t-elle de nombreux touristes.
* d'où, de là (suivis d'un nom)
- Je ne l'attendais pas; d'où ma surprise quand je l'ai vu arriver.
- Il ne pleut pas depuis des mois; de là l'inquiétude des agriculteurs.
* du coup (fréquent à l'oral)
- Je n'ai pas écouté les explications; du coup je ne comprends rien.
lundi 7 mai 2012
Victoire de Hollande aux élections présidentielles
vendredi 4 mai 2012
EXPRESSION DE LA CAUSE
A) CONJONCTIONS DE SUBORDINATION MARQUANT LA CAUSE :
1) INDICATIF
·
Parce
que introduit une cause
jusque-là ignorée de l´interlocuteur.
La phrase introduite par parce que se place
le plus souvent après la proposition principale.
·
Puisque=du
moment que : Le
fait présenté dans la proposition introduite par puisque est déjà connu de
l´interlocuteur.
La proposition introduite par puisque
peut se placer avant ou après la proposition principale.
Puisque tu ne te sens pas bien, je
vais appeler le médecin.
·
Comme: Cette conjonction insiste moins que puisque
sur la relation entre la cause et la conséquence : Comme j’avais oublié mes clés, j’ai du attendre à la porte.
·
Vu
que=du fait que= étant donné que : Ces conjonctions introduisent un
fait dont la réalité est indiscutable : Étant donné que beaucoup de
monuments sont menacés par la pollution, on remplace souvent les statues par
des copies.
·
D’autant
plus que traduit un effet
proportionnel à la cause : Il est
très content, d´autant plus qu´il n´espérait pas être reçu.
·
Sous
prétexte que introduit une
cause contestée par le locuteur: Il n´est
pas venu, sous prétexte que ses enfants étaient malades.
2) SUBJONCTIF :
·
Non
que, non pas que, ce n´est pas que : une cause possible est écartée et elle est suivi de la
vraie raison : Il ne travaille pas, non (pas) qu´il soit paresseux,
mais il pense à autre chose.
·
Soit
que…soit que : Le paquet n’est pas encore arrivé, soit qu’il se
soit perdu, soit qu’il n’ait pas été expédié.
B) MOTS DE
COORDINATION MARQUANT LA CAUSE :
·
Car :
La proposition
introduite par car est toujours après la principale. Car se place toujours en
tête de la proposition subordonnée : Il a mis son imperméable, car il
pleuvait.
·
En
effet peut se placer en
tête, en cours ou en fin de phrase : Les voitures n´ont pas pu passer.
Il y avait en effet beaucoup de neige.
La neige avait en effet bloqué la route.
C) PARTICIPE
PRÉSENT:
Participe présent, placé en tête de phrase
et relié à un nom ou à un pronom: Paul n´étant pas libre, nous sommes sortis
sans lui.
D) GÉRONDIF : Même sujet que le verbe principal auquel il est
relié : Je me suis tordu la cheville
en tombant dans l’escalier.
D) CONSTRUCTIONS AVEC INFINITIF OU AVEC NOM :
·
Pour
+ infinitif : Cette
construction est possible lorsque les sujets des deux propositions sont les
mêmes. Cette construction indique généralement la justification d´une punition
ou d´une récompense : Il a été
condamné pour avoir blessé un policier.
·
Pour
+ nom : Il a été condamné pour vol.
·
A
cause de/ en raison de/ par suite de + nom marque généralement une cause négative : Il n´a pas eu son examen à cause de sa mauvaise
note.
·
Faute
de=par manque de+nom : Je n’ai pas pu aller voir cette exposition faute
de temps.
·
Vu
/ du fait de /étant donné+nom : Vu l’heure, il faudrait
rentrer.
·
Grâce
à + nom marque une cause
positive : Il a été reçu grâce à sa
bonne note en français.
·
De
+ nom : Il a sauté de joie.
·
Sous
prétexte de+nom : Il m’a téléphoné sous prétexte de me demander
l’adresse d’un dentiste.
mardi 1 mai 2012
Revue de presse autour des présidentielles
Revue de presse autour des présidentielles
Au
lendemain du premier tour des présidentielles en France, comment les
journaux de tout bord ont-ils traité l’évènement ? Avec nos
journalistes, passez en revue titres et opinions de la presse écrite du
23 avril 2012.
François Hollande en première place
Cliquez sur EXERCICE D'ÉCOUTE pour faire l'exercice.
Inscription à :
Articles (Atom)